Calvin Tyler Stanford ~ Are you ready ?

» Votre personnage :
(Nom de la célébrité : Calvin Harris)

Attachant •• Maladroit •• Drôle •• Têtu.

« Je ne connais absolument rien à la musique. Pour ce que je fais, je n'en ai pas besoin ! »

« Que faisiez-vous le 14 février 1990 ? »

Il fait froid, le ciel est gris tirant sur le noir, une couche blanche et épaisse s'étale sur des kilomètres, le chat est couché sur la cheminé, et Calvin est né. Nous somme le 14 février 1990, à Salt Lake City, capitale de l'Utah. Et aux alentours des 8h34 du matin, un jeune garçon nommé joliment Calvin, naissait. Cela peu paraître pathétique de broder autour de cette simple histoire, mais il en est ainsi.
En Amérique, le premier enfant prend le nom du père. Mais pour Calvin, il en fut autrement. Sa mère refusait de l'appeler Tyler, comme son père. Après de longues heures de débat, il fut convenu qu'il s'appellerait Calvin Tyler Stanford. Mais peu importe l'origine de son prénom, on s'en tape, un peu.

Calvin est fils unique, ce qui ne l'a pas empêché de vivre une enfance parfaitement heureuse, sans grand altercation majeure. Parfois il se disait que ce serait bien d'avoir un frère, ou même une sœur. Mais après réflexion, il se disait qu'il serait plus emmerdé qu'autre chose. Son père, Tyler Stanford, est décédé alors qu'il n'avait que 15 ans, des suites d'une maladie génétique. Pour oublier la douleur, il se mit alors à faire de la musique. Non pas de la guitare ou de la batterie, ni même de la basse ou du saxo, lui c'est plutôt de l'électro. Il devint très vite un grand passionné, il était même prêt à claquer ses études pour en faire son métier. Sa mère, elle, ne voyait pas d'un bon œil la tournure que la vie de Calvin prendrait s'il décidait de ne faire que de la musique. Il y avait un risque qu'il échoue ou au contraire, qu'il réussisse. Pourtant, il savait parfaitement ce qu'il voulait faire de sa vie, que ça marche ou pas, il était prêt à encaisser sans faire de faux espoirs. À 16 ans, il décidait de continuer ses études, ainsi que la musique sans promettre pour autant qu’il rentrerait à l’université.

Au bout de deux ans, Calvin enchaînait les concerts, sont succès grandissant petit à petit et ce pour sa plus grande fierté. Souvent, il disait que le prénom de son père lui portait bonheur. Après tout, son père aussi aurait voulu faire de la musique et devenir célèbre. Malheureusement, la vie ne lui en avait pas laissé le temps. Tous les amis de Calvin vous diront qu’il est fou, que c’est un grand farceur, même un peu chiant sur les bords. En effet, ce qu’il préfère faire à part la musique, c’est rire ou faire des blagues. Tout le temps, en permanence presque. Il amuse même beaucoup de gens, y comprit ses fans. En voyant que sa vie prenait la tournure qu’il avait espérée, il décidait qu’il n’était jamais à l’abri de rien. C’est pour cela qu’à dix neuf ans, il envoyait sa candidature pour être admis à l’université. Beaucoup d’entre elles lui envoyèrent une lettre positive rien que parce qu’il devenait célèbre. Sauf peut-être celle-ci ;

Cher Monsieur Stanford,
Ce serait surement un grand honneur de vous comptez parmi nos étudiants, même si je pense que toutes les autres universités aussi. C’est pour cela que je ne vais surement pas vous jetez des fleurs (en même temps, ce n’est absolument pas mon genre). Après mûre réflexion, je pense pouvoir accepter votre dossier. Mais attention, vous serez traitez comme tout les autres. Il n’y aura pas « d’horaire spécial » pour vous, ni pour personne d’autre. Si vous séchez, on vous enverra en colle. Si vous fumez de l’herbe, vous serez avertis puis viré (surement). Si vous êtes un petit délinquant qui met le bordel partout ou il passe, vous serez viré d’office et sans avertissement. En espérant que vous nous choisirez.

Cordialement, le directeur Gregory Hudgens.


Ah ! Voilà qui lui plaisait. C’était l’occasion rêvé. Là-bas, dans cette université, il serait traité comme tout le monde. Après une semaine, il confirma son inscription et fit ses valises. Direction San Francisco !